dimanche 25 janvier 2009

Résumé du Conte de QAMAR et BUDUR

Ce résumé est dû à l'une de mes anciennes étudiantes de l'année 2002/2003: Melle AHMED-CHAOUCH Sara . Qu'elle soit de nouveau félicitée ici!

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Résumé de l’histoire Des amours de Camaralzaman et de Badoure.

I.
• Dans l’île des Enfants de Khaledan naquit le prince Camaralzaman, fils du roi Schahzaman qui attendait depuis fort longtemps cette naissance.
• Camaralzaman fut choyé, gâté et dès qu’il fut en âge, son père lui donna un gouverneur et de nombreux précepteurs.
• Lorsque le prince atteignit l’âge de ses quinze ans, le sultan Schahzaman lui confia son envie de lui céder le trône, mais souhaitait avant toute chose qu’il se mariât.
• Camaralzaman refusa la proposition de son père qui fut attristé par cette nouvelle.
• Son grand vizir, qui lui donna l’idée du mariage, lui conseilla d’attendre quelque temps. Une année s’écoula…
• Le sultan réitéra sa proposition, et la réponse fut identique.
• Camaralzaman, enfermé par son père dans une pièce, était libéré de la réponse.

II.
• Un soir, alors qu’il dormait, une fée nommée Maimoune, rendit visite au prince. Elle fut déconcertée par la beauté de ce dernier, et l’observa pendant quelques minutes.
• Lorsqu’elle prit son envol, elle rencontra sur son chemin Danhasch, un génie malin. Malgré leur différent, ils parlèrent longuement et Danhasch expliqua à Maimoune qu’il revenait de Chine, où il avait rencontré la plus belle princesse qui existait au monde.
• Il raconta l’histoire de cette dernière, similaire à celle de Camaralzaman :
• Son père, le roi de Chine, voulait la marier, alors qu’elle s’y opposait totalement.
• Il l’enferma dans une chambre.
• Maimoune crut l’histoire de Danhasch, mais lui assura que son prince était beaucoup plus beau que sa princesse.
• Afin de mieux juger, Danhasch alla chercher la princesse de Chine, qui se prénommait Badoure, et la déposa sur le lit près de Camaralzaman, qui dormait .
• Maimoune alla chercher un génie, pour être l’arbitre.
• Ce dernier ne réussit pas à déterminer qui était le plus beau, il proposa de les éveiller l’un après l’autre, et de voir celui qui se comporterait avec respect face à l’autre.
• Le prince s’éveilla et fut émerveillé par la beauté de Badoure, il supposa que c’était la femme que lui destinait son père, et qu’il s’en accommoderait sans contestation.
• Il échangea sa bague avec celle de la femme qu’il aimait déjà. Puis il se rendormit.
• Avec l’aide de Danhasch se fut au tour de Badoure de se réveiller. Comme le prince, elle admira la beauté de ce dernier et remarqua que leurs bagues étaient échangées. Elle pensa que son père avait bien choisi son mari et elle était déjà amoureuse de cet homme qu’elle ne connaissait pas.
• Après cela, Danhasch et l’autre génie ramenèrent Badoure dans sa chambre.

III.
• Le lendemain, lorsque Camaralzaman se réveilla, il demanda à l’esclave qui gardait sa porte de lui amener la jeune femme qui était auprès de lui cette nuit.
• Inquiet, l’esclave alla avertir le sultan et son grand vizir de la folie qui envahissait le prince.
• Alors, le grand vizir, puis le sultan allèrent raisonner le prince. Mais ce dernier ne voulait pas renoncer à la femme qu’il avait vu , et montra à son père la bague qu’il avait au doigt.
• Le sultan fut fort étonné et crut son fils. Le prince se plongea dans une tristesse si profonde que le roi Schahzaman en fut troublé et ne s’occupa plus des affaires du royaume.

IV
• Pendant ce temps, au royaume de Chine, la princesse eu la même volonté de retrouver le jeune homme dont elle était tant amoureuse. Elle demanda donc à la nourrice qui était l’homme venu la veille.
• Etonnée par sa question, la nourrice alla au plus vite alerter le roi et la reine de Chine, qui demandèrent une explication à leur fille.
• Elle raconta ce qui s’était produit. Ne la croyant pas et la pensant atteinte de folie, le roi l’attacha avec des chaînes et l’enferma, n’ayant que sa nourrice pour servante.
• Il demanda à tous les astrologues, médecins, et magiciens de se présenter à lui afin de soigner sa fille. Le roi ajouta qu’il donnerait sa fille en mariage à la personne qui la guérissait ; mais en cas d'échec, il lui couperait la tête sur-le-champ.
• Les têtes s’entassèrent, au fur et à mesure, devant la porte du château. Des mois s’écoulèrent…
(à suivre...)

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