
Ô toi échanson qui fais tourner les coupes, (écoute !)
Les oiseaux ont lancé leurs chants, réveillant ceux qui s’étaient assoupis ;
L’aube s’est dévêtue, rejetant le manteau obscur de la nuit
Et le matin s’est révélé dans toute sa clarté ;
Sers-nous à boire de ce vin au parfum ambré
Qui procure joie et félicité.
De ce vin qui, dans la coupe, jette une gerbe d’étincelles,
Et dont l’arôme a été si bien conservé, Bois ô mon bien-aimé
Et regarde comme les fleurs se sont éveillées,
Offrant aux regards leurs joues bigarrées.
Traduction inédite et protégée de
Saadane Benbabaali
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